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entrés dans votre Salle ^ à ce moment où vous avez vu la légiflation^ & Fadmi- niftration entière de ce grand Empire ^ fe réunir dans votre enceinte pour s’occuper des moyens de fauver FÉtat ; & il vous fuffira alors de connoître de nouveau le danger de la chofe publique , FafFoi- bliffement de fa force , pour dévouer tous vos moyens à réparer , redonner la vie au Corps politique menacé d’un anéantiffement rotai. — Vos décrets ont détourné les mains incendiaires qui ont ravagé les habitations des Citoyens ; puiF fentdls arrêter les cruelles coupables proferiptions ! Mais ce que no us réclamons aujourd’hui, c’eft le concours de vos efforts pour le rétabliffement dé l’ordre & de l’exécution des loix de l’impôt ; & en me fervant des mêmes exprefïions de M. le Garde des Sceaux, je vous prie de coniîdérer : cc Que le mépris des loix exif- » tantes raenaceroit bientôt celles qui