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^ Que * matiX qu’iï reSilte dé étette'fraude pour le «commerce en général., & pour ndtré intérêt parti- culier qui ne peut /upporter les plus légères vexa- tions fans en rSiTentir les plus grands maux. Faut il que ces malfeitenrs ne foient fexpofés à aucühe pej- œ ? Leur iiieonduité fondée fur l’impouiié les raffure, ^ en fait naître tous les jouTs iks nouveaux de ieur exemple»

^ général des Acheteurs dé ces favons èa êqn- floiflent la fraude ; mais l’appas du bon marché j les fait pafler par-déffus cètte cemfidératiPn ; aù fur-, plus , ils n’achetent pas pour leur compté , ils hé' font que Covnmiffionnaires , ce n’ell pas i ôüX qué' l’on «olé, mais bien aux Sîanufaauriers de foiè , de laine , & à tous les peuples du Royaümé , & éo. Wre à I Etranger , auquel nous nous fomhies ren* dus folpeâs par cette fraudé.

Le Ciwyen rédiéhor de ces Doléances , né fahf que fuivre l’inipnlfîon qu’ou lui donne ; il voit avec reî gret le dépériffement de ce commerce ; iî eh gémit’ avec tous les boas Patriotes ; il eïpèré qu'en méttàhf au grand jour cette fraude , il ixiufra CoOpefér àta ■ détrinre. C eft fans de/feiu d’attaquer le perfounér, quil .pr&e fou féntiment Sï .fon cceiir an ihéh du plus ' cômmifërant état 5 c’eft dans-ces feules vues ^é là- ' crifiaat quelque» heures à cette publicité , il ^efce 1 aâe de charité qu’On lui démande , qufrieipéut ê'trë que pour le plus grand bien de font le Rtyaaihe, 8f

pour 1’iBtérêr ïsirticul.for cfo Comméres de Marseilles