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diirabîe. Uti eours àe trois ai^iiées fnflic a ce genre dlnf- midion , ÔC conduit cet enfant de la républiqne a fa dix huitième année. Alors h la patrie a des Cimemis à combattre, i' s'honora de maidier a fa détenlej car là. République ne veut à l’avenir confier qu’à les propres enrans le foin de la dé'Andre. Cet sc1:e de dévouement accompli , il- revient dans fes foyers , y fait le choix d’une compagne vcrmenfe , adtive cC^iaboneiife , de deviuu dai- meme foiidaceiir d’une nouvelle tamiile dont la Pxépu- bliaiie fe troirvc enrichie. ^ ^
Telle eh la marche d’une éducatlon^ républicaine ^ ^ vraliiient populaire, je n’en connois pouit di. autre îe terme où toute éducation doit aDoutir , & le reiuitat qui doit la compléter.
Le même plan eft en grande partie applicable aux filles. Fn effet , route fille parvenue a fa quinzième année,, doit avoir appris & lavoir im métier convenable à foa iexe. Dotée de cette- précieiiie reilburce , elk^peut avec confiance afpirer à l’état de mère de famide , pour lequel la n-acure l’a derdinée. Si cependant elle Jog® plus utile d’en retarJer Fepoque à un âge plus^avance , elle peut ou conriniier l’exercice de fa profeüion , ou apprendre auprès de quelque mère de famille verraeufe le bon emploi, iiii temps , tn partageant avec elle les foins êc les’ travaux domeffiques. ^ ^
Qu’on ne croye pas que fous un régime jrépubricain dém oc ra n que ’v popala're, la plaie de ladometucit-s
conrinneri affliger iscorpsfocialaam profondément quelle.
l’a fait iufqidà préfenr. Toute mère de fomiüe doit appren- dre à fe palier de fecours étrangers , Sc ne doit point aoan- donnerà des mains mercenaires les foins qui lui font confies* La domefficité u’eft point une profofiîon , elle ne dok être eonfi-iérée que comme un temps d’ap^'-rentilTage im genre d’inffmdion pratique, où la jeuneiTe peut •ecnelUir des leçons & d-s exemples utiles. Cet apprendlLage doit