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Développe ment des motïj's de la lcd
J’ai fixé à l’age de douze ans reircrée en apptentiffage 'des métiers, parce que cccce époque m’a paru réinur toutes les couveiiaiices &. préveuii" tous les !nconveiiiens(i)'.
Avant ciüiue ans , l’cnFant ii’aiiroic peut-être pas la force fiiddame pour eftéduer le travail ; d ailleurs 'k ^ temps qiîî précède ccr âge peut être coniacrc a r- cueillir dans îes écoles primaires rinftriidiou qui convient au premier âge. Plus tard, ii court le rii.|ue diatteincr:- ?:rop tar- dlveincîic â b. perfecl’on de l’arc qui! s’eit. clioifi , on de fe voir Uirpris par 1 epoqtie où la patrie rédame de lui d’an î res iervices.
Dans les campagnes , Tenfant parvenu â la douzième année, entre dans un attdier de cukors, eta execute les travaux , & y rdle immuable ment attacher
Dans les villes, renfanc (îui, à la même époque., s’eiP choiii un méder, doit â f; quinzième année po-lleder deux avantages , la force phyiiqae , & la .pratique g une pro- fellioii utile: riche de ce -feul patarnouie , il peut parcoun.r, avec celte fécurué que donne l’iridepciiclance du b-cfoin , le.s divers temtoîres de la République^ fs perleêtionnec dans rexercice de fou art par le rapprociiernent de 1 ex- périence 5 aiouter â fes conndiiTances acquiies , 6c fc créer par ion acbive mduftrio les bafes d un .Donheiir
(i) Les en fan s des hommes libres devancent toujours en
force & en facult-’s intellecmelles les eiiians des erdavf s. . Voua
le motif qui m'a déterminé à faine commencer a douze an:-' 1 ap-
premniTage des mérie.s, 'qui s’appi'ennent d ailleurs avec pius c.e
iacilitéç Icréque la !;ratique en elt: commencée ce boîme i euie.
Il peut y avoir cep.endant quelques exceptions pour cergams me-
iners , pour l’exercice deP..]ueis il iaut une^force p.çyf:qr.e j ie-
do-mnanie; alors le terme peut être dfieré, mais il ne toit
yolat lé proroger au-delà de hfc.’izieme aunctv