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dépendent les détêtmmations -
qui doivent affeoif le plan régénérateur dune bonne
éducation. , , . .
La mefure «jue j’ai d propofer ne tient a aucune de
ces idées abftrakes dont la plupart des plans q-u nous
ont été préfentés fe trouvent «nveloppés. P-lle eft linv pie ; elle a la railon pour appui , 1 évuicnc® pour prin- cipe ^ & l’espérience pour garant de .on fucces.
EU" confifte à mettte eii adion la véritable éducation commune; la fiaile cohvcnable à tous les temp^- , à totis ies âges ; la festle applicable aux interets eie la xociete ,
& i chacun de ceux qui la compoient. E*k a de p.us cet avantage, ceft quelle eft fufccpnble dette mile a exécution dès TinUant même ou ehe fera adoptée. Eue n’entraîne aucune avance, aucune mife, depeme
qui puiffe grever la Nation; car les établiîTemens iont formé? , les inaituteurs exiftent. Ces etablifTetnens , ces inaitü'tears, font répandus fur toute la _ furface de la République', dans tous les points du territoire ; Se les élèves peuvent s’y préfenter avec confiance , certains d’y recueillir les leçons q-a’ils ont droit a en attendre.
Cette mefure confifte à aftreind e tous_ les citoyens indiftinaement à apprendre, â un âge détermine , ua art, un maief ou profeffion capaole de leur prociuer les moyens de fubfiftînce.
Nous avons décrété l’égalité: nous ne;voul..ns pas fans doute quelle fok un vain nom, quelle demeure illufoire & fans réalité ; car, dans une mocratique êc populaire , la loi de 1 égalité eft la leu e qui puilTe opérer le bonheur commun.
Rappelons-nous ces temps de aefpotifme^ & dé bar- fcatie^où la portion la plus pure & U puis utile du peuplk celle |ui vivoit dans l’mdigence & ia medio- cîité,n’étoitemnu8que fous les qnaimcations odieules