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' Je fortk alors' de li rhaifdn, comble de b<^he- dicliohs; 6c ayant retr'ouVé lesToldats du Gliec à qiii'j’avois dcniné de la poudre du plomb , j’obtins de l’un d ’ eu qu’il fe pJà’^âc en faction devant la porte. , ’

Je dirigeai aiifH-tüfnies'pis'vers la Baftille , par la cour de i’ArferiaJ ; il étoit trois heures & demie environ'; le premier pont étoit baifTc, les chaînes’ coupées ^ niais' la li’erfe batroît le jiafTage; on s^occupoit à faire entrer du canon à bras , les ayant dénlontéÿ d’avance ; je pafTal par le petit pbnt, Sc j’aidai en dedans à faire' entrer les deux pièces de canon.

Lorfqu’ils furent rcthontés fur leür affût d’un plein Sc volontaire accord’, ôn fé mit en rang de cinq ou fîx, 6c je me trouvai au pre- ' niier rang.

Ainfî rangés , on marcha jufqù’au pontdevts du château : là,” je vis deux foldars uié^, étendus à chacun des cotés; à gauche ou'j’étois, l’uni- fo rme dû foldat étendu, étoit dé Vintîhiilk ; je ne pus diftirigiier runiforme du foldat étendu à la droite.

On braqua les canons; celui dé Ivroiite., en face du grand pont-levis, & Un petit de fer, damafquiné eri argent, en face du petit pont.

Ce canon m’obligea de quitter mon rang; ^ Comme on defîroit, a cet inflant, favôir fî, fur le donjon , on ne donnolc pas quelques nou- veaux (ignés de paix, je me chargeai 'de par- courir la terra (Te.

/ Pendant cette mîfîîon, on fe décida à corn- hiencéb TàtraqUe , à coupas de fufll : je me hâtai de revenir" à moii poftè ; màis-moû chêînià fe