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m habituai , fans le lentir, à porter le joug qui paroilToit fi lourd à beaucoup de mes compatriotes , les braves Pa- rifiens.
Comme eux, le 12 Juillet, à la nou- velle que la populace armée attaquoit "les Bourgeois au lieu de les défendre, -je me • tranfportai à St-André-des-Arcs , pour y offrir mes fervices, me croyant de ce Diftrid : l’attaque aux Tuileries , par le Prince de Lambefc , & plufieurs autres çirconflances connues de tout le monde , ayant augmenté les allarmes des Bourgeois , & les ayant décidés à prendre les armes , je me fournis aux 'Comrnandans qu’ils nommèrent.
Dans tous mes, travaux, je croyois fi fort n’avoir fait que mon devoir, que je n’en voulois tirer ni gloire ni avantage, content dans mon état de gagner fix francs •par jotir , jufqu’à que je m’établifîe ;
mais plus content encore d’avoir aidé la France îi recouvrer fa liberté , & d’a- voir caufé (Quelques plaifirs âmes parens au récit de mes adions.