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que vous ferez jnftes & humains , & vou* dèfen» 4font , parce que vous les nourrirez ; autrement i’or & les ruies des Ariftocrates Æduiront facilement leur ignorance & leur misère.
Le n e& pas au milieu du plus affreux dénuement fe faire entendre la voix haute de la, liberté.
Ceft au befoiu de lame qui ne fe fait fentir que qtiand les befoins du corps fout fbtisfaits ? On Congé a le conferver , avant de Conge r à fe conferver libre.
La voix de la liberté ne dit rien au cœur d’un nmcra&îe qui meurt de faim.
Autrement , il fera a craindre qu après que les pro- prietaires ont fecoité le joug- des Arillocrates la mul- titude pauvre, proferite par l’avide cWfme dts pro -
pnetmres , ne foulé aux pieds les titres inhumain* ® ia propriété.
Epargner aux propriétaires qui ofent punir de mort Je vol dont leur cupidité > leurs duretés font les premières cames , ces attentats à l’humanité que ne iauroieiit coaiacrer des loix atroces.
Garantiriez Içs propriétaires de înifurre&ion terrible « peu éloignée de zo millions d’iudigens fans p rû -
Noiirrifïèz donc votre Peuple , ou vos travaux fe.
J0m vai,ÎS ’ fcront fans arrêtés , parce que vous ^ures toujours à coté de vous , dans la misère , un ÎQ y<* P^pemel de iëdition ou d’eiclavage.
,?? *°\ K * <i ui Scelle du vrai patriotifme , parce qucile ett cafc de l’humanité, ne ceffera devons repeier, pifqua ce que vous les ayez exaucés , ce*
i®. Hâtez-vous lentement de pofer les bafes du à l’àw'rchk dC * lbCrté ’ & fa ' te ’ fl,ccéder l’ordre
- °\ Hâ !f. z V0lls de racttre des armes à la main de
tous les Citoyens pour la défenfe de la Patrie.
) . hnchauiea s o« banniffe* les Ariftocrates * défi-