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                                                                                   -3-
                              au No35 de la rue Rousselet qu'il n'a quitté qu'en 1928, pour
                              aller occuper sa folie des la rue d'Assas No100.
                                    Engagé volontaire, il subit la guerre pendant 2 années
                              et 7 mois. Reforme et très pauvre, il se remet au travail.
                              C'est en 1919 qu'ont lieu, d'abord au "Centaure" de Bruxelles.
                              puis Rue La Poeumlauts above etie à Paris, ses premières expositions personnel-
                              les. Mais déjà auparavant Sélection avait montré quelques oeu-
                              vres sculptées, quelques gouaches.  Ventes rares, difficiles.
                              Le parquet de son atelier menace de crouler sous le poids d'une
                             foreaccent circumflex above et de bois et de pierre. On ne le comprend pas toujours:
                             le Daily Graphic publie des reproductions de quelques bois
                             exposés à Londres, mais c'est pour les livrer à la moquerie et à
                             l'indignation de son public bourgeois, comme des exemples de la
                             déviation monstrueuse de l'esprit d'aujourd'hui.
                                    A Paris, on l'ecouté un peu plus, mais là aussi beaucoup
                             de méfiance l'entoure: il n'appartient à aucun groupe, il se
                             tient loin des marchanfs, il a horreur des camarades, Néanmoins
                             André Salmon, Maurice Raynal finissent par dire quelque bien
                             de lui, mettent au point la valeur et les promesses de son
                             oeuvre. A Bruxelles, il peut compter sur André de Ridder et
                            Paul-Gustave Van Hecke, qui font beaucoup pour le fair connai-
                             tre en Belgique et en Hollande. C'est à Bruxelles et à Rotterdam
                             qu'on lieu ses premières grandes expositions à l'étranger.
                                  D'autre expositions vont suivre: Berlin, Rome, Tokio, etc.
                             En 1926, un ensemble complet à Paris, chez M. Hodebert (Galerie
                             Barbazanges), comportait 70 sculptures; en 1927, un autre en-
                             semble à Bruxelles, au "Centaure". 34 sculptures et 34 gouaches.

in pencil English translation above lines in French

                              at #35 Rue Rousselet which he did not leave
                               till 1928 to occupy his "folly" in #100, Rue d'Assas.
                                    Enlisting voluntarily, he endured the war
                              for two years and seven months.. Reformed and very
                             poor, he took up his work again.
                            It was in 1919 that he had his first one-man
                            exhibition: at first at the "Centaur" in Brussels, then
                           at the Rue de La Boeumlauts above etie in Paris.
                            But already before "Selection" had shown
                             some sculptures, some gouaches. Sales rare, difficult.
                            The entrance of his studio threatened to crumble under the
                            weight of a forest of wood and stone. One does not always
                            understand; the Daily Graphic published reproductions of some
                            wood exhibits at London but it was to vent the mockery and
                             indignation of a bourgeois public, of the modern spiritstroked out
                            as examples of the monstrous distortions of the modern spirit.
                                   In Paris, one understood him a little better but there
                           also much mistrust surrounded him: he did not belong to one group,
                           he kept away from the dealers, he disliked comrades. Nevertheless
                           André Salmon, Maurice Raynal finished by saying something
                           well of him, pointing out the worth and promise of his work.
                           At Brussels, he could count on André de Ridder
                           and Paul-Gustave Van Hecke, who did much to make him
                           known in Belgium and Holland.  It is in Brussels 
                           and Rotterdam, that he had his first large foreign exhibition.
                                   Other exhibitions followed : Berlin, Rome
                           Tokio; In 1926 a complete showing in Paris at M. Hodebert
                           (galerie Barbazanges), comprising 70 sculptures; in 1927
                            another exhibition at Brussels, at the "Centaure,"
                           34 sculptures and 34 gouaches.