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à celle d^un Volt aire. Eh! pourquoi, en fait de finances, n^écouterions-nous pas les avis de Fhomme le plus confommé dans ces matières , qui a donné tant & de fi grandes preuves de fes lumières, & qui mé- rite la plus grande confiance par fes vertus, qui enfin a coopéré lui-même d’une maniéré aufli efficace à notre réunion ? Quelles in- tentions peut-on fuppofer à ceux qui vou- droient nous féparer abfolument de cette fource de précieufes connoiffances , qui font toujours prêts à rejetter toutes les propofitions d’un Miniftre auffi fage , & auffi univerfellement chéri de la Nation f Ceux qui voudroient lui refufer toute influence , font-ils les vrais Repréfentans de la Nation f Eft-ce le vœu de la Nation qu’ils nous préfcncent, ou leur vœu par- ticulier ? Et fi c’eftleur vœu particulier quel peut en être le but ï
Reportez-vous au moins au jour mé- morable où les Minières du Roi fout