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jeftiis ohligé défaire monfervice ; niais j'e n'fit ^ Pendant ce difeours, jrramairai |on fiifil , alors
,ic Im commandai , la bayonette.lur Idlomacj
de me donner t'a giberne, & de me la palier au
col , qir'il fit. ■ ‘ . * i
, .Aulîi-tôt après , je fus au J®
pen4!culaireroent au- ddl'us .ou- Pon£ v- ev s
kn lie , 'a deflein de le deraonter de deflus fon aff , pour -ilempèchcr de fe-dr. Ma.s comme Pavobrépaùle droite à cct eftet feus !i gueule du canon , je reçus un coup de tulil partant des emii eus, dont la ballè m'atteignit au col en me .perçant mon habit & mon gilet ; je Ls' conncifl-ance ;.le Suille, à q/” ^ '
ja vie, me traîna liir 1 clcalicr , fans, p ^ ^ »
que l’aie abandonné fon fufd, que je ^
moi , à ce qd.il me dit; mais jnvois lâche le
-fufil pris aux Jn\ralides^ , *
Rev enu de.mcn cvanouilTemcnt y je me t/ouvai
alTis,fur l'efcalicr,- le Suiife m avoit me faire reverrir.&. pour arrêter le teit en abondance de mia plaie , il avoi P
iKorceau de fa chemife, qu d n»rcçn_
Me trouvant abattu, je me décidai a dc-ce dré, en priant le Suilfedc me foutemr, ce quil
fit de très-bonne grâce. , _ .
Vers le milieu de l'efcalier , nous rewontra-
,ires des Bourgeois cuiialTés &
lent que c’étoit le Sailiê qui m -ayoït voiiloient le tuer, je m’y
. bufar.t. Ils nie crurent heureufementfu P
.rôle, & je continuai toujours , iSutenu pai lu> , à dîfcendre. , ^ ’ î