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^’un moment de terreur & de reculée pour
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La foule remonta , & l’on parvint à tranf- po. ter les perfonnes éioufTées fur un g.,7on pré* du dôme & du foITe. Après avoir aidé & Z.
l’i® jf t'ânfport de ces peiTonnes , voyant hnun „e de ma préfence ^ armé de ’mon^fu-
ma’ndant "doJs’
Diflria. ^ ^ chemin de mon
J’appris en chemin qu’on délivrait de U poudre à I Hdtel-de-Ville. J y portai mes pas
on m en donna en effet environ un quarteron ' lâns me donner de r»*-. ^ • *
difoit-on. “ * ayant points
En Portant de l'Hôtel-de- Ville , i’enrend* dire quon affiége la Baflille.Le regret de Sa- voir point de balles , me fuggéra une idée que ). accomplis auffi-tor. c’étoird’acheterdespe-
Li j’arrangeai , & graiffai mon fufil.
En fortanr.de chez l’Epicier , comme i’alloîs charger mon fuGl , je fut acodé d'un Citoyèu qui mannonça qu’on délivroit des ballesàl’Hô- tel-de \ille alors j’y courus & reçus en effet px pentes halles appdUes chevrotines
Je partis auffi-tô: pour la Baliille , & char- ' gea! mon fufil en chenîin. ^
y quais dans la fécondé cour de
J Aliénai je me joignis ^ quek]ues perionnes diipofees à aller au fiige. ^
UvUfiincs quatre Soldats du Guer-à-