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affez grands , ils font affez élevés pour que je n’en forme jamais d’autres.

Voilà la troifieme & derniere partie de mon dilcours ; puiffe-t-il rendre l’ouïe aux fourds, la clarté à ceux qui voient mal , & la bonne parole aux langues venimeufes î Je dois attendre de l’indulgence de la part de ma nation ; je dois croire qu’on ne s’arrê- tera pas aux négligences de ftyle ; la rapidité & le zeie avec lelquels j’ai donne la plublt- çitéà ces fept productions doivent être afes veux mon excufe. Le Dialogue entre la 'Vérité & la France, le Cri duSage , Y Avis prenant & le dernier écrit , compofés en courant, &en partie chez l’imprimeur, juftifient les fautes fans nombre qui ont dû s’y gliffer. .

La circonftaace veut que je tournoie la preuve du danger auquel une jufte im- preffion peut donner atteinte fur un in- dividu. (

On a répandu aux états-généraux , de dans tout Verfafll.es , que je pouf fuis par- tout M. Necker , jufques dans les galeries du château : je déclare ici que je n’ai ja- mais vu ce miniftre , & que je n’ai aucunes relations quelconques avec lui. Cette hif- roire , éçhaffaudée par une imagination.