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leurs fouverains , mais qu’il armeroit encore, s’il le pouvoir, les quatre élé- mens enfemble contre la nature entière.
C’eft ainfi que je juge les médians ; c’eft ainfi que je me range du parti de la juf- tice , de l’innocence & des perfécutés. J’ofe croire que mon opinion ne fera point rejettee. Si j avois un feul doute fur tout ce que j’avance , je ne me ferois jamais declaree 1 auteur de mes ouvrages.
J efpere que la nation en accueillera quelques-uns , qu’elle me permettra de choifir,, dans fes membres, des députés qui ne dédaigneront point tout-à-fait de faire des motions fur les produftions d’une femme.
L’impôt patriotique en mérite peut-être une dans toutes les formes ; celui-là excitera fans doute l’éloquence d’un de ces orateurs célébrés. Les impôts fur le luxe , tels que je les indique dans mes remarques pa- triotiques , intérefferont les plus fages de l’affemblée. Le théâtre patriotique , dans le bonheur primitif , n’eft-il pas propre à épurer les mœurs ? Et je laiffe celui-là au proteâeur des femrnes.
Le bien de ma patrie , la réuflite de ces projets , ce font là mes defirs ; ils font