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ufage de Tes moyens ^ il ne paroîtra plus
qu’un homme ridicule.
Les personnalités , les jeux de mots , le fareafme doivent être profcrits de cette pffemblée. Le maintien noble & décent doit répondre à leurs fondions , &; la chambre des communes obtiendra , dans cette cirçonftance , le titre du fé- cond aréopage du monde , dont il ne forcira que des fentences & des notions qui feronc à jamais l’exemple de l’uni- vers. Elle a à fa tête un homme de poids , de mérite , qui joint à fes talens la réputation d’homme honnête, & fixe de nouveau l'attention du public. Il remplit fa place avec un £ele augufte ; fon ton eft toujours noble , décent , & jamais déplace dans une circonftance aufli pénible , ce qui ne peut qu’ajouter à la gloire & à l'eftime générale que M. Bailly a obtenues depuis long-temps.
Quant à M. M. • • , dont on admire le génie & la facilité , ne pourroit-on pas lui faire quelques obfervations ? Pourroit- ii s’indifpofer des apperçus d’une femme qui ne tendent qu’à lui rendre la juftice qui lui eft due , & qui fouffre de voir que la meilleure plume de la France , le plus