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coîïibieii coîida.niii2.blc est l a.veugleîneîit c]^ui acconipa.gne le clioix de nos conseillers , de nos amis, des de'positaires de nos pensées, de nos secrets. Il est bien peu d êtres dignes d'une confiance royale , & point, '^ absolument point qui doivent être les confidents d\ine foi- • blesse. Personne n’a le droit detre vicieux : mais le malheur de l’être, doit êa*e toujours suivi de la sage précaution de le cacher. Ainfi , ehere & auguste princesse , beaucoup de pru- dence , à l avenir , la plus scrupuleuse atten- tion , dans le choix des heureuses compagnes de tes loisirs : et les rares vertus , fiéconlant de leur source 5 dans toute leur ’^pürete : pé- nétreront les ennemis memes de la plus grande roî-mn Pt fpront reàTettCr a tes fideles
B
que trop, combien 'dangereuse est la négli- gence , dans le choix de tout ce qui l’appro-; che. Mais combien plus dangereux encore,