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PAR

le tribunal révolutionnaire»

Etabli à Paris, pour juger sans sans .ppeOés Campiratears,

• a eaS-Babtîste CÀrmer , ex-député à la ConYMtu»

Q° « -“<*«“*• * îf P T r ! s “ u* atttiat» et couvai, c « d'avoir noyé

nationale et ses Comp.,c , ersor . ae s , et incendié dos commues, « 

enfans , assassiné un grand »£*£» * & fa, ïioiée5 . des borneras et desfepasSe.S. on.t Çte s-g b

r nom de la Bép&liqw françoise, le

ri bu n al a rendu le 5 «gesiënt suivant : Totttcetsuü la crüautëa de plus barbare;

oit « quo il«a«* » * rfas Vf*** * ‘* üt

-a aue l’aetêTitf a d. nias .rbitr*ur«i tout 1 eus la concussion a de plus affreux , et tout 03 que l'immoralité a S* plus révoltant, sont tes crimes commis yar Carrier et ses

COSBpl-C 3o

Dans I es fastes les plus reculés du moBck, tes testes les pages de T, histoire , même des siècles barbares , en îreutardit à peine

des traits qui pussent se rabâcher des hoï^ retira commises par les accusé s. __

^éroia fut moins,, s a» gaina ira 9 Phalarîs moins ■ barbare , et [Syphane fut moi*s «ruelle,

.Sous la m^cpé da patriotisme, ils ont ©se cosa mettre tour les forfaits *, ils o *t osé assas&er la vertu pour eeuroaner " 3

ils ont froidement «édite le meurtre et 1 as- sassinat , ils ont sciemment exercé toutes sortes d’exacticBs; les devoirs eu ma- gistrat ont été f eiiîds *** lé cft