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ses dîmes , elle- sait aussi , que le dernîef de'gré d^infamie, n’a rien de facré dans ses moyens de défense ; aussi ne s’arrêtent -elle jamais à une futile apparence, toujours trompeuse y comme font les esprits légers et irréfléchis , par malheur trop communs ; mais , profonde fcrutatrice des replis du cœur humain , elle sait démêler la vé- rité , dans le cahos d obfcurké oii elle cherche à s’envelopper , et déduisant toujours les actions de l’homme de la notion des principes et de les- sei'.cç du caractère , elle ne s’égare jamais dans son jugement. C’est toi, saine raison, profonde . rifiexion , toi que n aveugle jamais l’esprit de prévention ; c’est toi que M. Ant. réclame au- jourd’hui peur Juge. Trop embrouillés pour être clairement saisis , les h'ts ne peuveat t’of- frir qu’un moyen incertain de décider ; mais J défaut de faits constants , rassemble les proba- , bijités ; calcule les possibilités ; étudie les ca- ractères , et prononce entre une grande reine & l’enfant , l’éleve et la déesse^de l’adultere. Vois d’un c^é cette puissante fille des Rois , s<Sur d’un Roi , femme d’un Roi puissant , née, nour - rie , élevée dans le vaste sein de l’abondance , ayant toujours eu à sa dispofition tout ce que , riniaginaiioD peut offrir aux défirs les plus éten^